ღ Age : 28 ღ Messages : 55 ღ Age du personnage : 23 ans ღ Puissance : 80
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Sujet: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:00
Artémis Serena Thompson
MYSELF
ღ âge; 23 ansღ lieu de naissance; 26/05/1988ღ origines; Britannique ღ métier; Journalisteღ état civil; Célibattante ! ღ situation financière; élevée ღ un jour j'aimerai; que l'Homme fasse d'avantage attention à ce qu'il bousille (ce n'est pas du vécu)ღ personnalité; Nina Dobrev ღ groupe; acid love
j'aime
✎ les vieux tee-shirts ✎ courir sous la pluie ✎ que tout soit bien à sa place ✎ et les films d'action
je déteste
✎ la caféine ✎ qu'on la défie ✎ l'amour ✎ perdre
STORY OF MY LIFE
Chapter One
« Caleb, mon trésor, laisse ton frère tranquille … Artémis ma chérie, peux-tu s’il-te-plaît donner sa tétine à Tyler ? », s’angoissa ma mère en repoussant derrière son oreille une mèche qui s’était échappée de son chignon dans son agitation. Elle s’accroupi pour ramasser un bol en plastique que mon petit frère venait de renverser. La gamine de six ans que j’étais finit par trouver la tétine en question et la fourra dans la bouche gazouillante de mon petit frère, qui gigotait joyeusement dans sa chaise haute. Ma mère enfourna les bols dans le lave-vaisselle et souleva Caleb de sa chaise haute en le glissant sur sa hanche. Alors que je glissais au bas de ma chaise, ma mère me saisit par le poignet et m’entraîna dans son sillage en s’écriant « Vite Artémis, on va être en retard ! ». Nous étions arrivés dans la voiture et maman sanglait Caleb dans son siège-auto, avant de repartir à toute vitesse dans la maison pour en ressortir aussi vite, un sac à langes dans chaque main, et de les fourrer dans le coffre de la voiture, qu’elle referma lourdement. Je me débattais avec mon manteau pour l’enfiler, quand ma mère, à peine assise dans la voiture, poussa un hurlement strident. « Mon Dieu, Tyler ! », s’écria-t-elle en jaillissant de la voiture pour se précipiter dans la maison, qu’elle avait de toute façon oublié de refermer à clé. Elle en ressortit quelques secondes à peine plus tard, mon petit frère dans les bras, ouvrit la portière à ma droite et sangla Tyler dans son siège. Une fois derrière le volant, elle énuméra en marmonnant toute la liste des choses qu’elle avait faites depuis ce matin. Pour une habituée comme moi, tout ce cirque n’avait plus rien de déroutant. J’étais née dedans. Ma mère était un tourbillon à elle seule. Elle faisait des millions de choses à la fois, mais elle finissait par en oublier la moitié. Elle était tête-en-l’air et perdait en moyenne un double de clés, que ce soient celles de la voiture ou de la maison, par mois. Mon père criait parfois, mais il finissait par en rire, parce que finalement, ça n’était pas bien grave. Et surtout parce qu’il l’aimait terriblement, comme au premier jour. Le soir-même, ma mère arrivait en retard pour me chercher à l’école, mais j’étais soulagée de voir qu’elle n’avait pas oublié les jumeaux, qui gazouillaient dans leurs sièges-auto.
Blottie contre mon oreiller, je regardais la rue au-dehors et les voitures traversant la ville, feignant de ne pas entendre les éclats de voix qui raisonnaient quelques pièces plus loin. La porte s’ouvrit doucement, et les jumeaux entrèrent dans ma chambre, la bouille inquiète. Il était impossible de distinguer qui des deux était Caleb ou Tyler. J’étais la seule à faire la différence. Tyler avait plus de malice dans le regard et je savais quand c’était lui qui faisait les bêtises, même quand Caleb entrait dans le jeu de son frère jumeau pour semer le trouble. « On peut entrer ? », demanda Caleb. Je hochai la tête et Tyler referma la porte doucement. Les jumeaux escaladèrent le lit et il y eut un silence. « Maman a l’air très en colère », dit Caleb d’une petite voix. « Papa aussi », ajouta Tyler. « Maman est fatiguée, répliquai-je. Et papa… Papa aussi ». Les jumeaux échangèrent un regard alors que les échos de la dispute redoublèrent d’intensité. J’avais menti. Enfin, partiellement. Le sujet de la dispute était le même depuis des mois. Maman n’arrivait pas à jongler avec son boulot et nous, papa lui disait qu’elle n’avait qu’à pas reprendre son boulot, maman disait que l’argent ne tombait pas du ciel alors il fallait bien qu’elle travaille…etc. Notre mère sombrait peu à peu dans l’hystérie au fil des mois, et papa avait de plus en plus de mal à supporter qu’elle le rabaisse en permanence. Il avait aussi très peur qu’elle finisse par oublier l’un de nous quelque part, étant donné qu’elle était toujours aussi tête-en-l’air. C’était une chaîne sans fin, et la plupart du temps je m’endormais avant qu’ils n’aient fini de se disputer. Résultat je ne savais jamais comment ça finissait.
Chapter Two
Je rentrais à peine de l’école. Maman m’avait oubliée, alors la voisine, qui venait récupérer son fils à l’école, m’avait gentiment ramenée. Des cris raisonnaient dans l’appartement. Je finis par comprendre que ça venait de la chambre de papa et maman. La porte était fermée, mais les cris étaient tellement forts qu’on l’aurait cru ouverte. « …Lizzie ! CALME-TOI ! », s’époumonait mon père. « Tu ne comprends pas ! JE REFUSE DE PARTIR ! », hurlait ma mère, d’une voix suraigüe. Je fis un bond en arrière quand quelque chose fut jeté au sol et explosa en mille morceaux dans un grand fracas. Un vase, à en juger par le bruit. « Lizzie, tu ne peux pas rester ici ! Tu as besoin de soins ! », explosa mon père. Un cri aigu, tranchant comme une lame de rasoir, retentit. « LACHE-MOI Philipp ! LACHE-MOI » Ses paroles se transformèrent en cri sur la dernière syllabe. Il aurait certainement fait exploser la vitre derrière moi si la porte avait été ouverte, j’en étais persuadée. « Tu es ingérable ! Tu veux faire du mal à Artémis ? A ta fille ? Et Tyler ? Tu y penses à ce petit ? », insista mon père. STOMP. Le bruit de quelqu’un se jetant à genoux à terre. Des sanglots retentirent. « Non… », murmura ma mère dans un hoquet. « Cette clinique fait des merveilles », assura mon père d’une voix douce. Puis, tout sembla voler en éclat. Le silence n’avait duré que quelques secondes. Mais déjà, la crise reprenait. « NE ME TOUCHE PAS ! NE ME TOUCHE PAAAS !! » A nouveaux les cris suraigus, cette folie dans la voix. Le bruissement des tissus indiquaient clairement qu’elle se débattait. « JE NE VEUX PAS ! LACHE-MOIII !! » « Pense à Sophia… Pense à ta fille… », s’exclama mon père, d’une voix suppliante. Et le silence. La respiration saccadée, les sanglots. « Dis-leur que je les aime… », murmura ma mère dans un nouveau hoquet. Ma respiration s’était accélérée comme jamais. Mon cœur tambourinait. Je ne pouvais plus rester ici. Je fis demi-tour et m’enfuis en courant, refermant derrière moi la porte de ma chambre. J’étais encore petite, mais je savais que maman n’irait pas mieux sans aller dans cet endroit. Elle n’avait pas supporté la mort de Caleb. Ca faisait trois semaines qu’il était mort, mais ça devenait de pire en pire chaque jour. Tous les jours ses crises augmentaient en intensité. Elle me faisait peur quand même. Maman devenait folle. Elle refusait de lâcher des yeux Tyler plus d’une minute. Elle avait tellement peur qu’il parte, comme Caleb était parti. Elle s’en voulait, parce que ce jour-là, elle avait dû déposer Caleb chez la gardienne pour filer en vitesse au théâtre où elle travaillait à cause d’une urgence dans la répétition. Et puis la gardienne l’avait appelée en hurlant et en pleurant. Caleb avait arrêté de respirer dans son sommeil. Comme ça. Pour toujours. On appelait ça la mort subite du nourrisson.
Chapter Three
« Tyler ! Hé, du genou, réveilles-toi ! », m’écriai-je. Tyler poussa un grognement et enfonça un peu plus la tête dans l’oreiller, faisant mine de ne pas entendre. Mais je savais très bien qu’il le faisait exprès, et je n’avais pas le temps d’attendre qu’il se décide enfin à bouger. J’attendis environs cinq secondes, les mains sur les hanches, fulminante, avant de trouver quelque chose pour le réveiller pour de bon. J’attrapai le vase posé sur la table basse, virai les fleurs sans aménité, et renversai tout le contenu du vase sur la tête de mon cher frère, qui se leva en sursaut. « Hé, mais t’es malade ! Pourquoi t’as fait ça ? », s’écria-t-il en secouant la tête pour faire sécher ses cheveux noirs plus vite. « Pourquoi ?! Allôôôô ça fait huit mois que tu squattes mon canapé, monsieur ‘’je-vais-trouver-un-truc-vite-fait-t’inquiètes’’ ! », hurlai-je, furieuse. « Je fais ce que je peux », marmonna Tyler en contemplant son tee-shirt trempé avec dégoût. « Ah oui, alors tu m’expliques pourquoi l’historique de ton ordinateur ne révèle aucune recherche d’un quelconque endroit où vivre ? », répliquai-je, en croisant les bras. « T’as pas à fouiller mon ordi ! », s’indigna Tyler, la mine outragée. « Oh, arrête un peu, c’est toi qui me l’a prêté la dernière fois et tu m’as toi-même dis de chercher le site de la banque dans ton historique ! », répliquai-je en levant les yeux au ciel. Mon frère retira son tee-shirt et le fixa en soupirant. « T’as vu un peu tes conneries ? Viens pas me demander de laver le canapé ! », bougonna Tyler. « C’est ça ! », soupirai-je en me dirigeant vers la cuisine. Je l’entendis pénétrer dans la salle de bain et l’eau couler dans la douche. Il était temps que mon cher petit frère prenne son existence en main, et cesse de croire que sa grande sœur serait toujours là pour l’héberger. Bon, en même temps, c’était vrai. Jamais je ne pourrais lui refuser l’hospitalité, il était quand même la personne que j’aimais le plus au monde. Mais le fait était que ça faisait huit mois maintenant qu’il squattait mon canapé sans même se sentir concerné par le fait de trouver un appartement ailleurs. Je m’activais dans la cuisine, avec des gestes presque mécaniques du fait de leur répétition quotidienne, attrapant des tasses, une noire et une blanche, les posant sur le comptoir et versant du café dans la noire. Tyler émergea de la salle de bain, en simple caleçon, une serviette sur les épaules et ses cheveux noirs dégoulinant, et s’assit sur un tabouret en saisissant la tasse que je venais de remplir. « Tu mets de l’eau partout », pestai-je. Il haussa les épaules et se mit à siroter son café. « Tu en veux ? », proposa-t-il en tendant la cafetière au-dessus de ma tasse blanche, restée vide. Je fis la grimace. « Non merci. Tu sais très bien je n’en bois plus une goutte, ça me donne envie de vomir », répondis-je avec une moue dégoutée. Ca faisait deux mois que j’avais arrêté de boire du café. J’en avais tellement bu, jour et nuit, pour toujours être plus efficace, et toujours repousser la limite du sommeil pour bosser encore et toujours plus que j’étais devenue insomniaque durant plusieurs semaines. Le médecin avait fini par me prescrire des somnifères juste pour que j’arrête de le harceler, le manque de sommeil me rendant complètement hystérique. Et puis finalement, le sommeil était revenu et j’avais arrêté la caféine. Je poussai un cri strident lorsque mon regard tomba sur l’horloge de la cuisine. « C’est l’heure ça ? Merde, je suis à la bourre ! », jurai-je en attrapant ma veste posée un peu plus tôt sur le bout du comptoir, donnant une tape amicale sur l’épaule de Tyler au passage. « Ton job va te rendre cinglée ! », commenta mon frère de la cuisine au moment où la porte se refermait derrière moi. Je lui aurais probablement rétorqué qu’il ne savait pas de quoi il parlait lui qui ne faisait rien ou presque de sa vie, mais non seulement j’étais sérieusement en retard, et surtout, il avait raison.
Chapter Four
J’étais fébrile en arrivant au bureau. Pas forcément à cause du retard, je pouvais toujours imputer les quelques minutes volées sur mon temps de travail à la désastreuse circulation londonienne. Ce matin avait lieu la réunion pendant laquelle notre rédac chef présenterait le nouveau photographe en chef. Le poste était resté longtemps vacant depuis que Michael Broud était passé à la concurrence six mois plus tôt. Le rédacteur, Carl, avait été littéralement traumatisé de voir son ami de longue date passer à l’ennemi sans même qu’il ait flairé quoi que ce soit. Personne n’avait eu le courage de lui dire qu’il avait été le seul à ne pas voir venir le coup. Sitôt descendue du taxi, je m’engouffrais dans les locaux du magazine, traversai le hall tout en verre et chrome, saluai au passage Marly et Cass, les deux réceptionnistes, et m’engouffrai dans le premier ascenseur, direction le troisième étage. En pénétrant dans la salle de réunion, j’eu un soupir de soulagement quand je vis que la réunion n’avait pas commencé, et que la plupart de mes collègues bavardaient joyeusement dans une cacophonie de cour d’école. Je me glissai à côté de Jenn, qui tapait sur son IPhone à défaut d’avoir autre chose à faire, ses beaux cheveux blonds luisant à la lumière comme une auréole. « Salut, j’ai eu la trouille que la réunion soit déjà commencée », marmonnai-je en lui claquant une bise. Jenn rangea son téléphone et hocha la tête. « Carl n’a pas l’habitude d’être en retard, t’as sacrément de la chance ! », souligna-t-elle. Je remarquai ses cernes, qu’elle avait tenté de camoufler avec du maquillage, sans y parvenir totalement. « Comment ça se passe avec Phil ? », demandai-je gentiment. Jenn me lança un sourire contrit. « Je ne sais pas, je ne suis pas rentrée chez nous hier soir ». Nous nous lançâmes dans une conversation animée, pendant laquelle Jenn me raconta ses malheurs domestiques avec son fiancé, Phil. Elle me parlait de sa fâcheuse manie de s’imaginer que rien n’était grave et qu’il fallait toujours voir le bon côté «… l’autre jour il m’a dit que la crise économique avait renforcé les liens internationaux ! », au moment où la porte s’ouvrit. Carl était seul, mais avait l’air triomphant de celui qui avait voulu garder le suspense. « Tout le monde à sa place !, exigea-t-il en guise de salut. L’heure est venue de vous présenter notre nouveau et très estimé photographe en chef ! Tu peux entrer ! », lança-t-il plus fort pour que la personne attendant derrière la porte entende. La porte s’ouvrit et, alors que je continuais ma discussion avec Jenn en chuchotant, je me figeai. Un jean noir, une chemise blanche avec le col entrouvert, un visage émacié, des cheveux sombres un peu ébouriffés. Et pour finir un regard qui croisa le mien. Un regard bleu vif, étincelant de malice. J’avais du mal à respirer, tandis qu’un froid glacial me parcourait l’échine. Les mots s’étaient bloqués dans ma gorge et je fixais le nouvel arrivant bouche-bée, incapable de bouger. « Artémis ? Ça va ? On dirait que tu as vu un fantôme ! », s’inquiéta Jenn. Je me forçai à insuffler le plus de haine dans ce simple regard, puis me forçai à reporter mon attention sur Jenn, qui regardait à présent elle-même la soudaine apparition. « Tu le connais ? Il est mignon ! », fit-elle remarquer. Je grinçai des dents pendant qu’il rejoignait Carl à l’autre bout de la pièce. Carl semblait ravi de son effet de surprise. « Je vous présente notre nouveau photographe en chef, Leland Fortescue !, s’exclama Carl avec une excitation somme toute pathétique. Je t’en prie, je te laisse la parole », poursuivit-il avec déférence et s’écartant de quelques centimètres pour laisser plus de place à son nouvel employé préféré. « Bonjour à tous. Je n’ai qu’un souhait, m’intégrer parmi vous, et me rapprocher de vous au maximum », dit-il de sa voix velouté en me fixant intensément. « Tu peux toujours courir », persiflai-je entre mes dents. « Tu le connais ? », demanda une nouvelle fois Jenn avec curiosité. « Je l’ai connu », marmonnai-je.
BEHIND THE SCREEN
ღ PSEUDO • Pingus ღ AGE • 16 ans aujourd'hui ღ FRÉQUENCE DE CONNEXION • 6j/7 ღ COMMENT AS TU TROUVÉ LE FORUM • Sur PRD ღ QU'EN PENSES TU • Très joli ! ღ CRÉDIT ICON • death's angel ღ CODE RÈGLEMENT • Nothing else matters
Dernière édition par Artémis S. Thompson le Sam 8 Sep - 8:24, édité 4 fois
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:02
Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuue parmi nous
Merciiiiiii de ton inscription et je valide ton code
Il me semble que ta fiche est finie non ?
EDIT : je viens de voir qu'elle est finie, je la lis de suite
Et bon anniiiiiiiiiiiiiiiiiiversaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiire
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Artémis S. Thompson
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:16
Mille mercis J'adoooore les accueils en smileys
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Jules S. Wilder
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:24
Ecoute, j'ai dévoré ta fiche, elle est parfaite Je te valide donc avec grand plaisir J'aime beaucoup ton personnage
Tu peux commencer à jouer et faire tes demandes si besoin
Merciiii de ton inscription encore une fois et surtout, amuse-toi parmi nous
(heureuse aussi de voir des gens s'inscriiiirent parmi nous )
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Cameron H. Mitchell
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Jules ou Lily-Rose ? Laquelle est ce que les poètes appellent mon âme sœur ? ღ Localisation : Quelque part. Quelle importance ? ღ Puissance : 633
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:55
Welcome et bon anniversaire !
Ah, et j'allais oublier : j'exige un lien ! ::<3<3::
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Artémis S. Thompson
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 8:56
Merciii Promis, je réserve le lien
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Kelsey W. O'Neill
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 12:27
Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiienvenue sur le forum !!
Et bon anniversaaaaaaaaaaaaaaire
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Oliver J. Mitchell
ღ Age : 32 ღ Messages : 119 ღ Double Compte : Non pour le moment :) ღ Age du personnage : 28 ans ღ My Sweet Lover : ღ Localisation : Buenos Aires ღ Puissance : 266 Humeur : Heureux et Amoureux comme jamais
ღ LOVE ME ღ ღ Réputation: (0/0) ღ Mode RP: ღ Liens & RP:
Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 12:40
Bienvenue sur le forum :)
Et bon anniversaire
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Autumn M. Blackwell
ღ Age : 32 ღ Messages : 110 ღ Double Compte : Dimitri ღ Age du personnage : 20 printemps ღ My Sweet Lover : Une sacret liste et elle compte bien encore l'allonger =D
Et y'a aussi Keegan , mais chut c'est un secret
ღ Localisation : somewhere in Buenos Aires ღ Puissance : 301
Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch ! Sam 8 Sep - 16:05
Bienvenue sur le forum !! Et très bon anniversaire !!!
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Sujet: Re: Artémis ✿ That's love bitch !
Artémis ✿ That's love bitch !
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