LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞

& Lilly-Rose Pacey Delacre

MYSELF

ღ âge; 26 ansღ lieu de naissance; Paris ღ origines; Française & Anglaise ღ métier; Architecte ღ état civil; Célibataire ღ situation financière; Bonne ღ un jour j'aimerai; réussir à faire oublier cette Jules à Cameron, pour l'avoir enfin à moi ! ღ personnalité;Dianna Agron ღ groupe; Love is a bitch

j'aime

✎ j'aime Cameron ;
✎ j'aime mes dessins ;
✎ j'aime jouer de la guitare ;
✎ j'aime les pâtisseries.

je déteste

✎ je déteste l'hypocrisie ;
✎ je déteste l'homophobie ;
✎ je déteste la méchanceté gratuite ;
✎ je déteste me retrouver seule, surtout maintenant.

STORY OF MY LIFE

Mon histoire commence par un 'Il était une fois', tout ce qu'il y a de plus banal. Si on veut la prendre à l'endroit, commençons déjà par mes grands-parents; de souche britannique, et étant tous deux de grands avocats, ils se prirent de plus en plus d'affection pour la capitale Française, si bien qu'il ne leur fallut pas beaucoup de temps pour déménager leur cabinet en plein cœur de Paris; la barrière de la langue n'avait pas été une mince affaire, mais leur motivation et leur curiosité leur avait permis d'apprendre le Français relativement facilement. Trois ans après, de leur union allait naitre leur unique héritier, mon père , Barry Ashton Delacre, et c'est dès sa naissance que ses parents avaient réuni des projets gros comme la lune pour lui. Or déjà petit l'enfant était rebelle, et ne laissait personne lui dicter sa conduite. Lorsqu'il fut plus âgé, Barry eut comme projet futur de devenir médecin, mais il déchanta très vite lorsqu'il s'aperçut qu'il ne pouvait pas supporter de voir quelqu'un souffrir. Le jeune homme obtint son diplôme haut la main, tout droit sortit d’une université prestigieuse il s'offrit une année sabbatique a Cabo San Lucas. Une fois revenu de son magnifique voyage, et sachant parler à merveille l'espagnol, le jeune homme s'improvisa alors guide touristique, il voyagea dans le monde entier, et fit de magnifique rencontres, mais c'est une nouvelle fois dans sa ville natale, Paris, que sa vie allait prendre un tournant décisif.

« - Et là nous avons donc la place de Picadelli Circus, une place connue dans le monde entier. Si vous voulez bien me suivre vous verrez….AIE !! »

Le jeune Barry venait de se faire bousculer, par une jolie jeune blonde au yeux bleus, des yeux azur magnifique, ça devait être la femme la plus belle qui lui ai été donné de rencontrer, pour sur, son prénom ? Marion Grassy, une très belle française. Si on se limitait à son apparence, on aurait dit l’une de ces princesses sorties tout droit d’un conte de fées. Pour vous donner un ordre d’idées sur cette jeune fille, alors qu'elle n'avait à l'époque que 16 ans, une agence de mannequin l’avait repérée pour faire des photos d'essai, ces photos et ces dernières une fois transformées en book, elle figurait parmi les modèles les plus demandés.

« - Les plus magnifiques yeux de la planète...Pardon je ne vous avais pas vu ! »

…Ça fait très cliché, n’est-ce pas ? On est à Paris, n’oubliez pas le côté romantique de l’histoire ! Même si Venise aurait été nettement plus crédible, je vous l’accorde. Reprenons ! La belle n'eut même pas le temps de répondre que déjà, son photographe l'appelait. Elle s'excuse poliment, et retourne à ses photos. Coup du destin, le soir même alors qu'elle rentrait a l'hôtel...Bam ! Devinez qui était la personne qu'elle venait de bousculer de nouveau ? Oui c'était ce cher Barry, un rire, puis un café, puis une nuit, puis un voyage, ah l'amour, ça va si vite...Trop vite !Comment est-ce qu’on dit déjà ? Ah oui ! Les deux jeunes tourtereaux avait eu le coup de foudre l'un pour l'autre. Après avoir passé des mois à sortir ensemble, la jeune femme de dix-neuf ans et le jeune homme de vingt deux, décidèrent d'officialiser leur union en se présentant leur famille. Bien sur les choses n’allaient pas être évidentes, un mannequin issu d'un milieu pauvre, et un fils d'avocat, les choses n'allait pas être simple, mais ne dit-on pas que l'amour fait des miracles ? Sachez alors mes amis que la personne qui a inventé cette phrase a forcément DU prendre prendre mes parents comme exemple ! Quelques mois plus tard, le couple se maria dans la ville la plus romantique du monde, non pas Paris à cette fois, mais à Venise. Cependant, à peine le temps de dire «Oui, je le veux» que Marion fut prise d'un mal de ventre terrible. Arrivés tous deux à l'hôpital, le médecin lui annonça qu'elle allait avoir un enfant, ce qu'elle ignorait encore. Après de longues heures à hurler sur les médecins (déni de grossesse, quand tu nous tiens…), et à pousser de toutes ses forces, la belle me mit enfin au monde !

Petite fille, il paraît que je ne parlais pas beaucoup - j'étais plutôt du genre à dessiner tout ce qui me passait par la tête, et les instants où ma bouche s'ouvrait à l'école, c'était pour parler de mes dessins, les montrer aux autres ou même les comparer. Pas que j'étais méchante, bien au contraire même, mais j'étais tout ce qu'il y avait de plus réservé, réservant à ceux qui m'entouraient mes plus beaux sourires alors que ma petite bulle elle, prenait possession de mes mots. Mes dessins se faisaient de plus en plus nombreux, et mes parents durent presque me rappeler à l'ordre en me rappelant l'existence de l'école et de mes devoirs...Au début, je me forçais à bien travailler pour avoir la satisfaction de rentrer dans ma chambre le soir, et retrouver ainsi sans aucun problème feuilles, crayons de couleur et feutres. Mais rapidement, je me suis laissée prendre à mon propre jeu, en me rendant compte que finalement, ce qu'on nous apprenait était loin de ne pas être intéressant: en me donnant encore plus de mal, je finis par ramener des bulletins de note plus qu'honorables à mes parents. Ma mère me répétait souvent de ne pas vouloir grandir trop vite, à cause de mon admission dans des classes où la moyenne d'âge était toujours supérieur au mien. Mais qu'elle se rassure: ce n'était pas des chiffres qui risquaient de me faire lâcher mes feutres et mes crayons de couleur.

Je grandis comme toutes les autres petites filles, il n'y a pas de grand discours à faire à ce sujet. Même si quelque chose commençait peu à peu à s'estomper à la maison: l'amour de mes parents...Il n'y avait plus cette petite flamme qui autrefois allumait leur regard, comme je pouvais le voir sur les anciennes photos disposées un peu partout. De 'l'amour passion', ils étaient directement passés à 'l'amour raison', et je me doutais que s'ils ne divorçaient pas, c'était seulement pour ne pas nuire à mon développement, ou une connerie de ce genre. Pourtant, ça, c'était seulement entre eux: ils ne s'étaient jamais montrés très désagréables à mon égard, et les voir se faire autant de mal chaque jour me minait le moral, mais ma conscience aimait se répéter que s'ils étaient encore ensemble, c'est qu'ils ressentaient bien encore quelque chose de fort, même caché au plus profond d'eux. Plus je m'approchais de la majorité, plus l'ambiance était pourtant tendue entre eux: mais je n'avais pas à me plaindre, pour ma part. Ils n'avaient jamais été désagréables, probablement parce qu'ils étaient fiers d'avoir une fille bien élevée et travailleuse. Ils me payèrent même les plus belles écoles, toujours selon mes choix, reportant leur affection sur moi, puisqu'ils ne s'entendaient plus comme avant. Je sais qu'aujourd'hui encore, je leur suis redevable, et ce n'est pas en faisant des bisous ou des câlins que je peux leur prouver toute ma gratitude et mon affection à mon tour: depuis mes 17 ans, âge où j'ai su parfaitement que je voulais être architecte, j'ai aussi su qu'un jour, j'allais construire la maison de leur rêve. Je les avais assez longtemps vus éplucher tous les magazines et prospectus de maisons beaucoup plus grandes et luxueuses que la notre, sans jamais s'y attarder, autrement que dans leur pensée. Une chose était sûre: dès que je le pourrais, je me mettrais sans plus tarder à la tâche. Et qui sait, peut-être qu'ils y retrouveraient leur bonheur d'antan.

Réunissant le nombre de diplômes demandés, et des mentions en veux-tu en voilà, je continuais tranquillement ma scolarité exemplaire et finis par être accueillie dans une université prestigieuse de Paris, ma ville natale. J'avais l'impression d'ancrer mes pas dans ceux de mon père, même si nos spécialités étaient bien diamétralement opposées, je vous l'accorde. Plutôt sociable, je n'ai pas tardé à me faire des amis et cela valut aussi pour la fac: même si une des rencontres les plus mémorables que j'ai pu faire est celle de William Lawford, étudiant américain, et qui se destinait à la même vocation que la mienne. Même si nous n'étions pas les meilleurs amis du monde dès le départ. On a pourtant pris le temps pour se connaître l'un l'autre, et très vite une grande complicité s'est installée: il s'est avéré qu'ils se sont trouvés pas mal de points communs, et la jeune femme, qui s'était toujours passionnée pour les États-Unis, était aux anges lorsqu'il a été question de se rendre à son tour à Boston. Quand on parle de complicité, il faut comprendre surtout que je n'étais pas totalement indifférente au charme ou à l'accent de William: seulement, j'avais ma fierté et je ne voulais pas l'admettre, me le dire à moi-même relevait déjà d'un effort non sous-estimable pour moi.

Sur le territoire américain, je profitai de mon 'guide' pour faire du tourisme, mais aussi pour me familiariser avec les Américains et leur mode de vie, leurs habitudes, enfin, tout! C'était si différent de la France, que ça en avait un charme fou. Puis, rapidement, je fis la connaissance du meilleur ami de William; mon cœur s'en souvient encore. Ce n'était pas la première fois que je trouvais un garçon mignon (après tout, William n'était pas mal du tout lui non plus..), mais c'était bien la première fois que je me sentais tout aussi remuée, alors que je ne savais pour l'instant rien de lui. Très vite, je me suis rendue compte qu'il faisait partie de ceux qui collectionnait les femmes comme on changeait de chemises, un Don Juan hors-pair et qui donnait l'impression de n'avoir rien à faire de ce que les autres pouvaient bien penser de lui, tant qu'il pouvait s'amuser librement, et ainsi profiter de sa jeunesse. Quand j'ai commencé à parler de Cameron à William, d'une manière beaucoup plus ambigüe qu'à la normale disons, son visage s'est tout de suite fermé et il m'a rappelé de faire attention à moi si je continuai à m'enticher de lui de la sorte: pas qu'il soit là pour le blâmer, mais William savait mieux que personne comment les femmes changeaient de semaine en semaine avec lui. Je n'étais pas une idiote, et alors que je me rapprochais de Cam', j'essayais du mieux que je le pouvais de résister à la tentation: mais le meilleur moyen c'est d'y céder, n'est-ce pas ?

« - Lilly, je connais ce regard... » Me reprit William en soupirant.
« - Mh ? De quel regard tu parles ? »
« - Tu vois très bien où je veux en venir, cocotte. Oh et puis ta glace qui te coule à moitié sur la main depuis cinq bonnes minutes maintenant, on fait quand même plus discret. » Dit-il avec un petit rire, ce qui déclencha l'une de nos petites chamailleries habituelles; mais pourtant, au fond de moi je savais qu'il n'avait pas tort, et je ne savais pas si je devais m'en réjouir ou non. Normalement, les Don Juan qui me collaient de trop près, je savais les gérer, mais pas quand c'était moi aussi qui craquait par l'un d'eux.

Et plus j'essayais de me convaincre du contraire, plus c'était la réalité qui me rattrapait dès que mes yeux se posaient sur Cameron: je tombais irrévocablement amoureuse de lui. Puis très vite, les nuits se sont enchainées; je préférai me dire que je n'étais pas tombée dans le piège comme toutes ces autres filles, mais d'un autre côté, je ne le connaissais pas tellement; alors, pour ne pas souffrir, l'idée d'une amitié améliorée m'avait parue être la meilleure des solutions. Au début. Mais plus on passait du temps ensemble, plus mes sentiments ne cessaient d'être forts, et plus j'enviais toutes ces filles. Je n'arrivais même pas à le rendre jaloux à mon tour, je n'avais pas envie qu'il me voit dans les bras d'autres hommes, c'est pour dire. Je ne voulais que lui. Mais même si par la suite, William s'étonna de nous voir officiellement en couple, ça n'a pas duré très longtemps; je crois que je lui en ai demandé trop, trop vite, j'aurais peut-être du me rendre compte que se mettre avec quelqu'un était un véritable effort pour lui, mais je n'avais pas pu m'empêcher d'en vouloir toujours plus. Alors que ses admiratrices se seraient bien contentées de ce que moi, j'avais déjà. D'ailleurs, c'est en voulant plus que je l'ai finalement perdu. Cameron n'était pas mon premier petit ami, mais cette rupture a été la plus douloureuse de doutes; même le réconfort de William et ses blagues à deux balles ont mis un trèèès long moment avant de me refaire sourire. Un tout petit sourire, même. J'essayais de me changer les idées avec le travail, mais même avec ce que je produisais, un idiot aurait pu se rendre compte que quelque chose me tracassait. Je n'avais plus qu'une idée en tête: le récupérer. Un jour ou l'autre. Mais je le ferai.

« - Mademoiselle, techniquement je ne vois rien d'anormal. Cependant... »
« - Cependant ? »
« - Je vous conseillerai de faire un test de grossesse. » Mon cœur rate plusieurs battements tandis que le médecin me regarde toujours aussi sérieusement derrière ses lunettes. Riant nerveusement, je secouai la tête avant de me redresser.
« - C'est ridicule enfin, je ne suis pas en- »
« - Oh, je n'y mettrais pas ma main à couper. »

....Attends-voir. Sourcils froncés, je réfléchis à la date de mon dernier cycle et celle où Cam' et moi nous étions vus pour la dernière fois; dernière fois où ça s'était aussi fini au lit, plutôt en souvenir du bon vieux temps j'imagine, même si pour moi c'était beaucoup plus que ça. Paniquée, et ne voulant pas faire un déni de grossesse comme ma mère avant moi, je me suis rendue dans la pharmacie la plus proche pour me procurer un test. Rentrée chez moi, je ne perdis pas un instant et me rendis dans les toilettes, le test à la main; une fois fait, le délai d'attente me sembla interminable, mais bientôt le verdict tomba: positif. Et le père ne pouvait être que Cam', à moins que l'homme invisible ait quelque chose à me cacher. Sauf que...Je ne suis pas encore prête à accueillir un enfant. Pas tout de suite en tout cas. Mais tout serait beaucoup plus simple si Cam' ouvrait les yeux et voyait que nous étions vraiment fait pour être ensemble, je veux dire, cette grossesse pour moi, ce n'est pas un hasard, mais bien un signe. Surtout que je ne l'ai fait jamais souffrir moi, alors je me demande bien ce que cette autre fille peut avoir de plus. Pour l'instant, je n'ai parlé de ma grossesse à personne, même pas à ma famille; c'est à Cameron que je compte l'annoncer en premier, et j'espère bien que cela lui fera ouvrir les yeux.

BEHIND THE SCREEN

LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ Th_oya2

ღ PADACHOU •
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Bref, je crois que tout a été dit dans ces smileys ! XD

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue parmi nous LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3477152822

Bonne chance pour ta fiche miss et n'hésite pas si tu as des questions what?

Merciiiiiiiiiiiiiii de ton inscription et d'avoir pris un pv hug

Bienvenue sur le forum !! LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 725557

Bon courage pour la rédaction de ta fiche LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3916527423

Comme la dit Jules, si tu as des questions, n'hésites pas le staff est là LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 1547219295

En espérant que tu te plairas parmi nous gniii

Merci de ton inscription et d'avoir pris un scenario ::<3<3::

Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiienvenuuuue sur le forum et bon courage pour ta fiche !

Comme l'ont dit mes deux choupettes, si tu as la moindre question n'hésite pas gniii

Merciiii tout le monde LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3477152822

Bienvenue et bon courage pour la suite de ta fiche :)

Juste un petit mot pour te dire que ton code de règlement n'est pas le bon ;) Nous sommes des vicieuses, il y avait un piège ;)

Merciiii

Je pense que tout est bon. LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3916527423

Pour moi tout et bon et même si je vais me retrouver aussi en compétition avec toi, je te valide avec grand plaisir. Ta fiche est parfaite pour moi (je pense qu'il n'y a rien qui cloche mais si Cam voit quelque chose à modifier, il faudra le faire) LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 639795459

LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 639795459

Tu peux commencer à jouer et faire tes demandes si besoin just heart

Merciiiiiiiii de ton inscription et d'avoir pris un scénario ::<3<3::

Mais surtout, amuse-toi bien parmi nous LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3477152822

LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 3808539628

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J'adore !!! just heart

Encore merci d'avoir prit ce perso ! LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 639795459

Au plaisir de RP avec toi ! ;) LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 2944839123

LILLY-ROSE ❝ skinny dipping in the dark, then had a menage a trois ❞ 229681

Ohhh super alors just heart

Merci à vous de l'avoir crée surtout gniii